Plusieurs associations allemandes de renom l’ont confirmé à la #SPA : les sévices #sexuels sur animaux sont bien réels

Publié le par ma vie de chien

Plusieurs associations allemandes de renom l’ont confirmé à la SPA : les sévices sexuels sur animaux sont bien réels, et ils ne sont pas réprimés dans le pays. Nous avions déjà tenté d’alerter l’opinion publique à ce sujet le 25 septembre, mais notre message n’avait pas été jugé crédible, la tenue de tels faits dans un pays si proche du notre semblant irréaliste à nos interlocuteurs. Pourtant, la zoophilie en Allemagne existe bel et bien, et il faut le faire savoir, pour la combattre.

Outre-Rhin, il y a un vide juridique qui n’autorise certes pas la zoophilie, mais qui ne la sanctionne pas (la loi interdisant les abus sexuels sur les animaux dans le pays a été abrogée le 1er septembre 1969 et n'a pas été remplacée depuis). barney-20040523.jpg

La vente, la location ou le prêt d'un animal à des fins sexuelles est donc autorisée. De plus, il est permis de dresser et de conditionner les bébés animaux (chiots, chatons, etc.) pour leur faire accepter que de tels attouchements soient pratiqués sur eux.

Chez nos voisins d’outre rhin, la zoophilie n’est pas qualifiée de délit comme en droit français au motif qu’il n’est «pas possible de prouver la cruauté d’un tel acte».

Ulla Saure de Tierleid (www.tierleid.org), l’une des plus importantes associations de protection animale du pays, précise cette hypocrisie : « Les articles 17 et 18 du German Animal Welfare Act –qui punissent les actes de cruauté envers les animaux- ne s’appliquent que lorsqu’il est prouvé que l’animal a souffert de blessures physiques graves ou qu'il a agonisé ».

Comment est-il possible de ne pas reconnaître les souffrances, psychologiques et physiques, d'un animal ainsi malmené, souffrances attestées par les vétérinaires allemands dans certaines de leurs études ? La France considère ces mêmes actions comme des délits réprimés par l’article 521-1 du Code Pénal qui prévoit des peines maximales de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.

Contacté par nos soins, Jens Waldinger, porte-parole de l’association « L’Allemagne dit non à l’assassinat des animaux » (http://deutschlandsagtnein.com/) déclare : « Les scientifiques estiment qu’il y a environ 3% de zoophiles dans le peuple allemand (soit plus de 6 millions de personnes), mais les chercheurs de l’Université de Munich pensent que le nombre réel est bien plus élevé ».


 

Il évoque aussi les bordels animaliers, son association en aurait découvert 14. Des endroits où « l’on paye pour violer des animaux qui y vivent à ces fins uniquement ». Il nous renseigne également sur l’existence de « plateformes Internet dédiées, sur lesquelles 14.000 zoophiles échangent leurs expériences avec leurs amis».

Il cite par exemple les forums de Zeta (http://www.zeta-verein.de/), une association allemande de zoophiles qui s’assument, où sont donnés « des conseils aux adolescents désorientés pour trouver leur orientation sexuelle, et pour avoir leur première relation sexuelle avec un animal ».

« Les zoophiles sont de plus en plus nombreux en Allemagne et nous craignons pour nos jeunes, qui, par le biais d’Internet, ont facilement accès à des milliers d’informations sur où et comment pratiquer la zoophilie », s’inquiète pour sa part Ulla Saure.

Petite parenthèse, on vient d’ailleurs de nous signaler l’existence d’un forum Zeta français (http://www.zeta-fr.net/) sur lequel certains de nos compatriotes expriment leurs penchants déviants en toute impunité, ce qui est tout bonnement révoltant !

Tous deux nous parlent également du phénomène des « Fence hoppers », ces personnes qui s’infiltrent dans un champ privé en passant par-dessus une clôture, et ce, afin de violer les animaux qui s’y trouvent, « en particulier les chevaux ».

Une autre activiste allemande de la protection animale, Raffaela Göhrig, de l’association Tierfreier, nous raconte sa rencontre avec un homme venu dire tout haut, lors d’une manifestation de son organisation, qu’il « faisait l’amour avec sa chienne » (une danoise), et que celle-ci « appréciait les interactions sexuelles avec lui ». Il a été signalé à la police, qui n’a bien sûr rien pu faire, puisque ces actes ne sont pas légalement réprimés sur place.

Ulla, de son côté, cite “l’éventreur de chevaux” : un homme qui semait la terreur dans une province allemande il y a quelques années « en infligeant des blessures très graves aux parties génitales des juments avec une arme tranchante. Certains animaux ont du être euthanasiés. Ce pervers prenait du plaisir sexuel dans la torture d’animaux ».

Dans un registre aussi atroce, Jens nous explique que des chercheurs spécialisés dans le domaine avancent le nombre de « 500000 décès d’animaux chaque année pour cause d’abus sexuels excessifs ». Sans compter ceux qui survivent, et qui sont traumatisés à vie !

Si vous n’êtes toujours pas convaincu de la véracité de la zoophilie en Allemagne, vous pouvez consulter le livre « bestiality and zoophilia » publié par les chercheurs Andrea M. Beet et Anthony L. Podberseck (qui explique que si la plupart des actes sexuels sur animaux sont réalisés sur des chiens et des chevaux, les autres espèces – chèvres, vaches, singes, serpents, poulpes, etc. - ne sont pas épargnées pour autant).

L’association de Jens a réussi à obtenir un rendez-vous avec Angela Merkel à ce sujet il y a quelques mois. La chancelière leur a promis qu’elle réfléchirait à une solution. Depuis, un parti allemand équivalent à notre parti écologiste, « Bündnis 90, die Grünen », a déposé une proposition de loi -visant à rendre la zoophilie répréhensible pénalement en Allemagne- à propos de laquelle le Bundestag (parlement allemand) doit bientôt se prononcer.

La lutte pourrait ainsi être gagnée, c'est pourquoi nous vous invitons à signer la pétition de Tierleid pour soutenir ce texte (à télécharger ici : http://www.tierleid.org/mediapool/119/1196586/data/U-


 

Liste_Zoophilie.pdf et à renvoyer à Ulla Saure, Schulstraße 29, 53773 Hennef, Germany), qui est ouverte à toute personne, même non allemande, où qu’elle réside.

S’il vous plaît, faites passer le mot. Faites savoir à vos amis, parents, collègues, maires, députés, sénateurs, journalistes, etc., que la zoophilie en Allemagne est une réalité, et qu’il faut la STOPPER ! Tout le monde doit savoir.

La zoophilie doit être interdite en Allemagne, purement et simplement, sans qu’il faille pour cela apporter la preuve de graves blessures physiques de l’animal. L'aspect psychologique doit lui aussi être pris en compte. Le moindre contact sexuel entre l’homme et l’animal devrait être interdit et puni par la loi. Enfin, la pénalisation de ces actes immondes devrait également être uniformisée et adoptée par tous les pays membres de l’Union Européenne. Nous espérons sincèrement qu'il en sera bientôt ainsi

 

Publié dans COUP DE GUEULE

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D
<br /> j aibien lu ? les poulpes ! y a vraiment des tarés !<br />
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S
<br /> Mais ils sont malades les humains. Anton dort dans mon lit, mais jamais il n'a de comportement sexuel avec moi, preuve qu'il ne me voit pas telle une chienne. Pourquoi moi je le prendrai pour un<br /> homme ???? Le désir ne passe pas d'espèce à l'autre. Il y a que l'homme pour être aussi peu social. Un lion ne viole pas une antilope avant de la manger.<br />
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F
<br /> c'est abject faut que ça cesse, bisous<br />
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M
<br /> quelle horreur!!!!!!!!!!!!!!!!!!<br /> <br /> <br /> bizz tous<br />
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